Lecture à la Maison de la poésie de Bordeaux le 16 mai 2025 (plus d’informations à venir)
Lecture musicale aux Hôpitaux universitaire de Genève avec Anouck Genthon le 15 mai 2025 (plus d’informations à venir)
Lecture à la Maison de poésie le 20 mars 2025 à 19h30 (dans le cadre des rencontres/colloque Panoramage)

Critique d’un test de fragilité par Valentin Kolly (rbl 2024-2)
Critique d’Un test de fragilité par Vivien Poltier (viceversalittérature)

Lecture dans le cadre des Sofalesungen dimanche 29 septembre 2024 à 17h00 (modération Alice Kübler, illustration Paula Troxler
Critique d’Un test de fragilité par Julien Burri (Le Temps, 25.05.2024)
Critique d’Un test de fragilité par Thierry Raboud (La Liberté, 25.05.2024)
Entretien avec Marie Viguier (Maze, 21.06.2024)
Critique d’Un test de fragilité par Adrien Meignan (La vie sans principe, 07.06.2024)
Critique d’Un test de fragilité par Florence Trocmé (Le Flotoir, 08.05.2024)
Critique d’Un test de fragilité par Françoise Delorme (Terre à ciel, 07.2024)
Critique d’Un test de fragilité par Alma Decaix-Massiani (L’année du livre 2024, 10.04.2024)


Anouck Genthon a composé une pièce sonore (intitulée Sous la peau de l’eau) à partir de mon dernier livre dans la collection Un cinéma pour les oreilles.
Lecture à L’Atelier (Paris XX) en compagnie de Célia Houdart le 16 mai 2024 à 19h30


Aditi Machado a traduit Un domaine des corpuscules en anglais (US) et en publie un extrait dans la revue Exchanges de l’Université de l’Iowa.
Volière
Devant la volière, nous avons regardé la diversité des espèces : un canard s’est approché de la fontaine. Si je devais avoir un bec, je voudrais qu’il soit plat comme le sien, pour pouvoir boire. Elle me répond, en regardant un ara se déplacer le long de la grille, qu’elle en voudrait un crochu pour que le bec soit une patte supplémentaire.

Mention d’Un domaine des corpuscules dans le laudatio de Thomas Hunkeler pour Dans une ville provisoire, de Bruno Pellegrino, où il est question de « génération moisie ».
Lecture à la maison de la poésie de Rennes, avec Cléa Chopard et Victoria Xardel.
Lecture avec Isabelle Sbrissa et Maxime Maillard à la Maison Rousseau et littérature pour une soirée intitulée Le texte est une matière.


Parution dans la revue L’Ouroboros (#5) d’Un tapi persan (où il est question de Morton Feldman, de Rudolf Stingel, de Lisa Robertson) et d’ Une galère portugaise (où il est question de Bruno Schleinstein et de Otto Dix).


J’ai écrit deux textes pour le livre Oise, de Simon Boudvin: Figures de la vie sans eau et Corps de vapeur du prolétariat. Il s’agissait d’abord d’évoquer les fossiles dans les pierres des carrières de l’Oise (ces pierres qui ont servi à construire la ville de Paris, ce qui veut dire qu’il y a des fossiles un peu partout dans la ville de Paris, et que ces carrières sont en retour un négatif de Paris, une ville en creux). Mais durant ses recherches, Simon Boudvin s’est également arrêté sur la vie des hommes et des femmes qui ont travaillé dans ces carrières.

Juan Feng a créé une affiche à partir de l’un de mes textes, qui est exposée à la Stratford Library (Londres) dans le cadre de Typoetry.
Sirène
2 février
Les sirènes de la protection civile on retentit, coïncidence, comme pour annoncer le décès de Monica Vitti, ou lui rendre un inconscient hommage. Chaque année durant ces essais, je pense à l’état virtuel de guerre dans lequel nos vies sont plongées, et je regarde les gens marcher dans la rue. Déambulant entre les tours et les immeubles, j’ai parfois l’impression d’être seul à les entendre, dissociation, et ne faire que passer, somnambule dans un film d’Antonioni.
Sirène 2
2 février
Il n’existe pas de sirène pour signaler le réchauffement climatique. Nous n’avons pas inventé la forme qui nous permettrait de réaliser dans l’espace public une menace diffuse, non l’imminence d’un choc mais une force de fond, lente et silencieuse, continue, en cours, imperceptible selon les codes de la catastrophe et du traumatisme. Même en faisant retentir ces sirènes en continu, nous ne rendrions pas compte du phénomène : un robinet qui goûte et génère peu à peu son dégât d’eau.



­ magazine publie mon Imago, sous une version numérique exploitant les possibilités du numérique.

Au Festival delémontain de littérature aux champs, avec Gilles Jobin, Isabelle Sbrissa, Nathalie Garbely, Odile Cornuz et Walter Rosselli.
Aditi Machado a commencé une traduction de Un domaine des corpuscules, dont elle publie un premier extrait sur le site du European literature network.

Covid oblige, mon déplacement au Mexique pour la tournée de lectures organisée par l’Alliance française est annulé. Tout se passe en ligne, en format très réduit.

Aux 41e journées littéraires de Soleure où j’ai été invité par Elisabeth Jobin.
En Croatie durant trois jour pour la tournée de lectures du Goranovo proljece 2019.
Vernissage de Bonsaï au Centre culturel suisse de Paris.
Organiser la colère

mars 2018
J’ai invité Cléa Chopard, Nathalie Garbely, Stéphanie Rosianu, Isabelle Sbrissa, Julie Semoroz, Marina Skalova et Nicolas Tardy pour une journée de lectures au Théâtre de l’Oriental à Vevey, dans le cadre du printemps de la poésie.
